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-Hyène tachetée Crocuta crocuta Spotted Hyaena Tüpfelhyäne, Fleckenhyäne  Burkina Arli Côte d'Ivoire Comoé Sénégal Saloum Niokolo Koba des hyènes tentent de mettre leur proie à l'abri à l'approche de lionnes; une hyène poursuit des babouins en grimpant la berge du fleuve Gambie

-Hyène rayée Hyaena hyaena Striped Hyaena Streifenhyäne Fiche et aire de distribution au Sénégal oriental en bas de page (pas d'image)

Reproduction soumise à l'autorisation des auteurs et des ayant droit

 

Hyène tachetée Crocuta crocuta

Spotted Hyaena Tüpfelhyäne, Fleckenhyäne
Least Concern ver 3.1 2015

En bas de page: fiche et publication sur le nombre de hyènes (23) de la forêt de Fathala:

Galat, G., Galat-Luong, A. 1998. Les Hyènes de la Forêt de Fathala : évaluation « référence point zéro » de la population d’une aire protégée de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum. ORSTOM. UICN ed. Dakar. 8p.

 

Burkina Faso réserve totale de faune d'Arli

Audio (mp3) :

Vocalisations de nuit #046667  © Gérard Galat-IRD 2005 ►

Côte d'Ivoire parc national de la Comoé

Vidéo :

Une hyène emporte la colonne vertéprale d'une antilope

(#098439 © Gérard Galat-IRD 1986) ►

Sénégal parc national du Niokolo Koba

(#014952 © Anh Galat-Luong-IRD 1988) 

Deux hyènes au dernier point d’eau de la mare de Simenti, avec une carcasse de cobe de Buffon voient venir trois lionnes, une mère et ses deux jeunes. Elles s'empressent de tenter d'emporter leur proie :

Vidéo :

(#014273 © Gérard Galat-IRD 1988) ►

Les lionnes passent devant les hyènes sans un regard, se désaltèrent au point d'eau, puis se reposent plus loin. les hyènes reprennent leur repas.

(#014156 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014478 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014086 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014105 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014117 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014093 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014124 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014144 © Gérard Galat-IRD 1988)

(014138# © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014141 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014159 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014087 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014165 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014120 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014100 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014107 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014122 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014130 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014145 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014139 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014168 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014147 © Gérard Galat-IRD 1988)

(#014149 © Gérard Galat-IRD 1988)

Vidéos :

et cobe de Buffon:

(#014263 © Gérard Galat-IRD 1988) ►

de nuit:

(#100703 © Gérard Galat-IRD 1988) ►

Une hyène poursuit des babouins qui fuient en grimpant l'abrupte berge du fleuve Gambie :

(#014440--52 © Gérard Galat-IRD 1988) ►

Sénégal parc national du Delta du Saloum

Sur la zone intertidiale de la mangrove, une piste des hyènes qui se réfugient de jour dans "l'île aux hyènes" (#024851 © Gérard Galat-IRD 2000)

Individu décédé (#016068 © Gérard Galat-IRD 1990)

de nuit (#056921 © Gérard Galat-IRD 1998)

de nuit (#057291 © Gérard Galat-IRD 1998)

p24-25 in: Adie, F, Galat-Luong, A, Galat, G 1997. Les grands Mammifères du Niokolo-BadiarFED No 4213/REG & Anh Galat-Luong Eds. Belancor, Rueil-Malmaison. 100p.  ISBN 2-9510534-1-X. 

Recommandé par Lonely Planet West Africa Guide 1999. [Télécharger pdf] Illustration Luong Thanh Minh  

Aire de distribution au Sénégal oriental, extrait de: Galat, G. 2003. La biodiversité de la grande faune du Sénégal oriental : une richesse à préserver et à exploiter. In : Potentialités, contraintes et systèmes de production au Sénégal Oriental et en Haute Casamance. CD-ROM. Direction du Développement Rural/Sodefitex-Université Cheikh Anta Diop eds. Dakar.

L'espèce est absente des zones blanches et disparue récemment (à l'échelle d'une vie) des zones marquées X.

Les résultats sont issus d’enquêtes menées en 1998 et 1999 dans le cadre de la Convention « IRD-UCAD-Sodefitex » auprès des populations résidentes (101 villages), précédées ou suivies de prospections « vérité terrain », des connaissances acquises dans le cadre de la l’Opération IRD Perturbations et grande faune sauvage (Département Ressources vivantes) et des informations de la littérature. 

Hyène rayée Hyaena hyaena

Striped Hyaena Streifenhyäne 

 IUCN Near threatened ver 3.1 Assessed: 2014

Publication 

 

Galat, G., Galat-Luong, A. 1998. Les Hyènes de la Forêt de Fathala : évaluation « référence point zéro » de la population d’une aire protégée de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum. ORSTOM. UICN ed. Dakar. 8p.

 

Projet de formulation du plan de gestion de la RBDS

Les Hyènes de la Forêt de Fathala :
 évaluation « référence point zéro » de la population d’une aire protégée de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum

Document scientifique du Programme ORSTOM - UICN

Etat des lieux et suivi écologique de la grande faune sauvage terrestre

et de ses habitats dans la RBDS n° 4

Gérard GALAT(1), Anh GALAT-LUONG(1)

(1) Directeur de recherche, Commissions Survie des espèce et Gestion durable des écosystèmes de l’UICN. IPMO, ORSTOM, BP 1386, Dakar, Sénégal

(2) Chargée de recherche, Commissions Survie des espèce et Gestion durable des écosystèmes de l’UICN. Co-responsable du Programme ORSTOM - UICN

Etat des lieux et suivi écologique de la grande Faune de la RBDS.

IPMO, Perturbations et grande faune sauvage, ORSTOM, BP 1386, Dakar, Sénégal

1. Prologue

Ce travail est le fruit de la collaboration ORSTOM-UICN-DPNS dans le cadre du Projet de formulation du plan de gestion de la RBDS.

2. Introduction

Aucune étude n’a été menée spécifiquement sur la Hyène tachetée (Crocuta crocuta) de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum (RBDS). Pourtant le nombre d’individus de cette espèce fait très fréquemment l’objet d’affirmations émises sans fondement, en particulier des éleveurs de la région. Il est vrai que l’on ne peut qu’être impressionné par la forte densité des traces, la nature vaseuse des tanns se prête à leur conservation, et par la grande taille des individus que l’on observe. Toutefois, bien qu’on les entende régulièrement, la fréquence des observations visuelles n’est pas si importante.

L’objectif de cette étude est de tester une méthode permettant en relativement peu de temps de collecter suffisamment de données pour une première évaluation scientifique de la densité des hyènes dans une des aires protégées de la RBDS.

3. Conditions d’étude

3.1 Site d’étude

L’aire retenue pour cette première étude est la forêt de Fathala. C’est l’aire protégée de la RBDS pour laquelle on dispose des données les plus récentes sur la grande et moyenne faune et sur l’évolution des habitats (GALAT, GALAT-LUONG, MBAYE et al. (1998 a, b); GALAT-LUONG, GALAT, DIOUCK, 1998).

3.2 Matériel

L’enregistrement de hyène a été effectué dans le Parc national du Niokolo Koba avec une qualité « FM (émission radiophonique en Modulation de Fréquence) ».

La diffusion est faite à partir d’un véhicule à l’aide d’un lecteur de cassettes et de quatre hauts parleurs d’une puissance de 22 Watts chacun.

3.3 Protocole expérimental

3.3.1 Diffusion

Une diffusion consiste en la diffusion d’une série de dix enregistrements d’une vocalisation de hyène suivis, pour chaque enregistrement, d’au moins dix secondes d’écoute. La diffusion est interrompue en cas de détection d’une ou de plusieurs hyènes. Une diffusion complète dure plusieurs minutes.

Les diffusions sont espacées de 500m. Aucune diffusion n’a été faite à proximité des villages. Les diffusions ont été faites les nuits des 10, 11, et 16 mai 1998.

3.3.2  Trajet des prospections de diffusion

La localisation des trajets des prospections de diffusion est représentée sur la Figure 1.

Figure 1. Localisation des trajets des prospections de diffusion

3.3.3 Relevés

Trois catégories de réactions ont été notées :

Négatif : aucun indice de présence de hyène n’est détecté pendant la diffusion et pendant une période de 10 secondes suivant la fin de la diffusion.

Approche : au moins un individu est entendu, puis déterminé à l’aide d’un projecteur lumineux.

Phonoréponse : une ou plusieurs hyènes émettent une ou plusieurs vocalisations.

Le même individu n’est jamais noté deux fois.

 

4. Résultats

4.1 Durée

Au cours de trois nuits, 10 h et 45 mn ont été consacrées à la diffusion des vocalisations enregistrées de hyènes : 2 h 45 mn la nuit du 10 mai, 4 h 30 la nuit du 11 et 3 h 30 la nuit du 15.

4.2 Distance parcourue

Au cours de trois nuits, 37,3 km ont été parcourus : 5,9 km la nuit du 10 mai, 20,6 la nuit du 11 et 10,8 la nuit du 15.

4.3 Nombre de contacts

Trente cinq diffusions ont été effectuées. Le Tableau I présente les résultats.

Dans trois cas, la diffusion a été reprise après écoute d’une phonoréponse pour confirmation.

 

Tableau I. Résultats des prospections et des diffusions des enregistrements de vocalisations de hyènes

 

Résultat Somme
Approche 1
Négatif 21
Phonoréponse 11
Phonoréponse et Approche 2
Vu sans diffusion 2
Total 37

 

Quatorze diffusions ont provoqué des réactions chez des hyènes, 21 n’ont pas permis de détecter leur présence.

L’étude des résultats des diffusions successives (espacées de 500m) montre qu’une seule occurrence de phonoréponses lors de diffusions successives a été notée, ce qui réduit considérablement le risque d’avoir relevé deux fois les mêmes individus. Cela implique aussi que les hyènes sont espacées entre elles de nettement plus de 500m en moyenne.

4.4 Nombre d’observations et taille des groupes

Le nombre de hyènes observées est présenté dans le Tableau II.

 

Tableau II. Nombre de hyènes observées

 

Résultat Nombre d'animaux
Approche 1
Phonoréponse 15
Phonoréponse et Approche 5
Vu sans diffusion 2
Total 23

 

Vingt et une hyènes ont été détectées par diffusion.

Le nombre moyen de hyènes détectées par contact est de 1,4. Les groupes les plus nombreux (deux) étaient composés de trois membres.

Cinq hyènes se sont approchées de la source sonore, à moins de 80m dans l’un des cas.

4.5 Fréquences horaire et kilométrique

Les résultats sont présentés sur le Tableau III.

 

Tableau III.
Fréquences horaire et kilométrique des contacts et des hyènes observées.

 

Fréquence horaire kilométrique
Contacts 1,3 0,4
Individus 2,1 0,6

 

Les seize contacts obtenus et 23 hyènes détectées au cours des 10h et 45mn et 37,3 km de prospection conduisent à un rendement horaire de détection de 1,3 contacts et 2,1 individus par heure et un rendement kilométrique de 0,4 contact et 0,6 individu détecté par km.

5. Discussion

5.1 Fréquences horaire et kilométrique

Rendement excellent puisqu’il suffit d’un peu moins d’une heure pour obtenir un contact et d’un peu moins de deux km de prospection par hyène observée.

5.2 Portée des diffusions

La portée des diffusions des enregistrements est relativement aisée à établir si l’on réfère aux réactions des chiens.

Onze diffusions ont provoqué des phonoréponses chez les chiens : huit chez ceux de Missirah, trois chez ceux de Bakadadji. Aucune réaction n’a été entendue chez ceux de Karang.

Les distances des diffusions les plus éloignées ayant provoqué des phonoréponses chez les chiens étaient à 1,5 km de Missirah (deux fois à partir de deux sites de diffusion différents) et à 1,2 km de Bakadadji,.

Le point de diffusion le plus proche de Karang était à environ 3 hm du village.

Les diffusions éloignées de plus de 1,5 km des villages n’ont pas provoqué de réponses chez les chiens. Nous retiendrons toutefois la valeur de 1,2 km comme portée maximum des diffusions, compte tenu qu’elle a été relevée dans un milieu de savane arborée nettement plus fermée que celui des champs à proximité de Missirah et plus représentatif de la Forêt.

Concrètement, nous tablerons sur une valeur moyenne d’environ 1km.

5.3 Distance de détection

S’il est possible d’évaluer la distance qui permet la détection de nos diffusions par les hyènes, il est beaucoup plus difficile la distance qui permet aux observateurs de détecter les vocalisations des hyènes. L’évaluation de cette distance de détection est pourtant l’une des clés majeurs de l’estimation des densités.

Nous avons tenté d’évaluer, en nous référant au niveau sonore des aboiements des chiens dont nous connaissions la distance et à l’intensité des vocalisations des hyènes visibles, la distance des animaux émetteurs de phonoréponses (Tableau IV).

 

Tableau IV.
Evaluation de la distance des animaux émetteurs de phonoréponses. Assez proche : environ 100m ; Moyenne : environ 500m ; Très éloignée : environ 1km.

 

Distance Assez proche Moyenne Très éloignée Total
Nombre d'observations 7 7 2 16
Pourcentage 43,8 43,8 12,5 100

 

La détection des vocalisations devient très faible lorsque les hyènes sont éloignées d’environ 1km. On peut raisonnablement considérer que la distance effective de détection est de l’ordre du kilomètre.

5.4 Comportement de phonoréponse

Les hyènes répondent-elles rapidement ?

Nous avons relevé le nombre de diffusions déclenchantes nécessaires pour obtenir une première phonoréponse. Les hyènes ont répondu neuf fois sur quatorze dès la première diffusion. La moyenne se situe à la troisième diffusion, les extrêmes allant de une à neuf. Le nombre de diffusions sans réponses est, selon le protocole, constant et est de dix diffusions dans tous les cas (sauf si la diffusion risque de conduire à la perturbation de la faune au point de diffusion, comme dans le cas de dortoirs de singes).

Il apparaît donc que les hyènes répondent très rapidement, généralement dès la première diffusion de la série de dix.

Toutes les hyènes répondent-elles ?

En excluant les hyènes vues sans diffusion, trois hyènes sur 21, soit 14%, ont été vues lors des diffusions sans pour autant qu’elles n’aient émis de phonoréponses. Deux de ces trois hyènes étaient en groupe. Il n’est pas exclu que dans cette situation, les hyènes ne répondent pas toutes, comme c’est le cas, par exemple, pour les singes de la Forêt de Fathala (GALAT et GALAT-LUONG, 1976). Il convient dans ce cas d’examiner la proportion des groupes vus sans diffusion.

En excluant les groupes de hyènes vus sans diffusion, un groupe sur seize, soit 6%, a été vu lors des diffusions sans pour autant qu’il n’y ait eu de phonoréponses. Le groupe était constitué d’un seul individu très près du véhicule et des observateurs. Il est très vraisemblable qu’il n’a pas été « dupe », et qu’il a bien pu voir qu’il n’y avait pas d’autre hyène malgré la diffusion. De plus, nous avons toujours observé que les hyènes se taisent dès que les observateurs s’approchent.

Ces données ne justifient pas d’introduire un facteur de correction lié à la proportion de hyènes qui éventuellement ne répondraient pas. Le plus simple est de considérer que toutes les hyènes répondent, mais que l’estimation déduite par l’étude est une valeur minimum.

5.5 Essai d’évaluation de la densité

Si l’on considère que l’aptitude des observateurs à la détection des vocalisations des hyènes est bien de l’ordre du kilomètre, la densité pourrait être estimée à 0,3 hyène par km2, soit un effectif total d’environ 23 hyènes.

On notera que l’on doit rajouter les individus immatures encore au nid.

 

6. Conclusion

Le nombre de contacts obtenus par heure grâce à la méthode utilisée montre que l’effort de recherche est raisonnable. Le rendement d’observation permet une étude de cette espèce.

La difficulté majeure est l’estimation de la distance effective de détection des hyènes par l’observateur. Des expériences complémentaires doivent être menées au préalable pour avoir une meilleure évaluation.

Les résultats de l’étude conduisent à estimer la densité des hyènes de la Forêt de Fathala à environ 0,3 individus par km2, soit une population de hyènes d’un peu plus de 23 hyènes, auxquelles il faut ajouter les immatures qui ne quittent pas encore le nid.

 

7. Remerciements

Les auteurs remercient la Direction des Parcs nationaux du Sénégal et le Conservateur du Parc national du delta du Saloum et ses collaborateurs.

Financement ORSTOM et UICN.

Dessin de couverture : LUONG Tanh Minh

8. Bibliographie

GALAT, G., GALAT-LUONG, A. (1976). - La colonisation de la mangrove par Cercopithecus aethiops sabaeus au Sénégal. Revue d'Ecologie (Terre et Vie), 30 (1): 3-30.

GALAT, G., GALAT-LUONG, A., MBAYE, M., BA, S., RIGOULOT, J.B. (1998a). - La grande et moyenne faune sauvage terrestre diurne de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum (Sénégal) : abondance relative des Mammifères et Oiseaux. UICN ed. Dakar. 34p.

GALAT, G., GALAT-LUONG, A., MBAYE, M., BA, S., RIGOULOT, J.B. (1998b). - La grande et moyenne faune sauvage terrestre diurne de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum (Sénégal) : densités et effectifs de six espèces de grands Mammifères et Oiseaux, 1998. UICN ed. Dakar. 47p.

GALAT-LUONG, A., GALAT, G., DIOUCK, D. (1998). - Evolution 1971-1996 des habitats d’une aire protégée de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum (Sénégal), la Forêt de Fathala : recouvrement, densité et biodiversité des ligneux. ORSTOM. UICN ed. Dakar. 30p.

Autre publication

Adie, F, Galat-Luong, A, Galat, G 1997. Les grands Mammifères du Niokolo-BadiarFED No 4213/REG & Anh Galat-Luong Eds.

Belancor, Rueil-Malmaison. 100p.  ISBN 2-9510534-1-X. 

Recommandé par Lonely Planet West Africa Guide 1999. Epuisé

Illustration Luong Thanh Minh [Télécharger pdf]

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